21 décembre 2010

De la non-pensée comme exercice fétiche chez quelques-uns de nos contemporains

Tout est possible dans le champ des études littéraires. Du best-seller conçu et reçu comme théorie. Voir l'encadré proposé par le site "Fabula" (http://www.fabula.org) :

"P. Bayard est sans doute le théoricien le plus présent et le plus commenté dans Fabula. Le premier ouvrage collectif consacré à ses travaux vient de paraître. On en trouvera la préface dans l'Atelier : Pour une critique décalée, par L. Zimmermann. On trouvera également sur le site de F. Bon la contribution de celui-ci à ce même collectif. Rappelons à cette occasion quelques-uns des jalons les plus importants de la réflexion autour de l'oeuvre de P. Bayard sur Fabula. On se souviendra notamment du dossier sur le plagiat par anticipation, qui comporte notamment un extrait d'un article de P. Bayard paru dans un numéro de La Lecture littéraire ("Ecrivains, lecteurs", dont M. Macé rendait compte en 2002 sous le titre "C'est ça, c'est exactement ça"), une contribution de M. Escola, Le temps de l'histoire littéraire est-il réversible ?, et plusieurs compte rendus de l'ouvrage Le Plagiat par anticipation. On se souviendra par ailleurs des nombreux articles proposés à chaque parution d'un ouvrage de P. Bayard, depuis un commentaire d'A. Gefen, jusqu'aux rebondissements multiples appelés par la critique policière inventée par P. Bayard. On pourra se souvenir de F. Schuerewegen et de sa contribution à l'ensemble Hégémonie de l'ironie? (1980-2008), Le critique ironiste (Charles vs Bayard). Signalons enfin la parution dans l'Atelier du Petit traité de "misologie" de D. Garncarzyk. Autant de manières de mieux saisir l'oeuvre d'un théoricien "que nous admirons tant aujourd'hui", pour reprendre les mots de G. Genette à son propos."

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