30 avril 2007

crise de l'enseignement superieur en Hongrie

S.O.S

L’enseignement supérieur en Hongrie est en crise : le gouvernement propose d’élever les frais d’inscription des étudiants (pour qui c’est déjà suffisemment difficile de financier leurs études), de supprimer le statut de fonctionnaire des professeurs, de diminuer radicalement le nombre des étudiants, de fermer de nombreuses universités et écoles supérieures... Bien que le réseau des établissements supérieurs en Hongrie soit vraiment démesuré par rapport aux dimensions du pays, ce n’est pas une vraie solution à la crise que propose le gouvernement.

3 commentaires:

CJ a dit…

Ben mon vieux. ça va secouer.

Comme d'habitude, la comparaison est d'une importance capitale.
Pour la température en France dans cet intervalle entre les deux tours des présidentielles, je vais essayer de mettre en ligne la prise de position du collectif Sauvons la Recherche, dès que j'ai le temps.

Anonyme a dit…

Voui et ça nous pend au nez à nous aussi avec le ptit Nicolas
Mireille

mb a dit…

C'est déjà demain...

A lire dans Le Monde, la vision du vrai dialogue social qui nous attend (au fait je ne suis plus sur le blog et ne parviens plus à créer des entrées,help !)
Mireille



vant même le départ des cortèges syndicaux du 1er Mai, Nicolas Sarkozy a répondu à ceux qui seraient tentés de faire de la lutte contre son programme social le principal mot d'ordre des défilés. Invité mardi matin 1er mai sur France 2, le candidat de l'UMP a réaffirmé qu'il mettrait en oeuvre, s'il est élu, les réformes sociales de son programme, estimant que "le calendrier de la démocratie politique ne peut pas être bafoué par le calendrier syndical".




"Le dialogue social, j'y crois. Mais simplement les élections ça sert à quelque chose. Ce ne sont pas les manifestants qui font le programme électoral des candidats", a déclaré Nicolas Sarkozy. Le candidat a souligné qu'il "appliquerait scrupuleusement" son programme, notamment sur le service minimum dans les transports ou les régimes spéciaux de retraites.

"Je le ferai dans la concertation avec les forces syndicales, mais que les choses soient claires : Je ne suis pas le candidat de l'immobilisme, je ne suis pas le candidat du conservatisme. La France a besoin de changer, la France a besoin de réformes, la France a besoin de pouvoir d'achat, de plein emploi", a-t-il dit.

M. CHÉRÈQUE ? "IL FALLAIT QU'IL SOIT CANDIDAT AUX ÉLECTIONS"

Interrogé sur les déclarations du secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, selon lequel les lois sociales annoncées pour juillet par François Fillon provoqueraient "des mouvements sociaux", M. Sarkozy a ironisé : "Il fallait qu'il soit candidat aux élections". "M. Thibault, ça ne lui plait pas, mais je suis désolé, ce sont les Français qui décident", a-t-il encore dit, évoquant les mises en garde du secrétaire général de la CGT Bernard Thibault.


Se disant "pour le dialogue social", il s'est à nouveau engagé s'il est élu à "organiser quatre conférences sociales pour que les partenaires sociaux jouent pleinement leur rôle". Ces conférences seront consacrées à "tout ce qui concerne le contrat de travail, la durée du temps de travail, les conditions de vie au travail, le pouvoir d'achat, l'égalité des salaires entre les femmes et les hommes".