31 mars 2008

Entre Valère Novarina

"Le langage se souvient", entretien, Inculte, n° 15, mars 2008.

3 commentaires:

Martin-Ritman a dit…

Je l'ai lu et je cite un passage lors d'une communication sur Charles Pennequin mercredi soir à l'Université de Caen.
Interview passionnante où tu permets à Novarina de préciser sa notion de "personnage rythmique" même s'il n'évite pas les mythologies qui dans son activité artistique prennent des couleurs bien loin des fadeurs essentialistes...
Bravo Isabelle!
Serge

IB a dit…

Merci, Serge. cela m'intéresserait de savoir quel passage tu as choisi et pourquoi celui-là.

Martin-Ritman a dit…

J'ai choisi le passage autour du "personnage rythmique" parce que c'est une image-pensée qui permet de sortir et de l'incarnation et de l'expression pour chercher du sujet dans du corps-langage en éliminant (presque) tout ce qui empêche de trouver au plus prêt de ce que font les poèmes...
Serge