13 février 2008

"Quand les activistes s'emparent des armes de l'art"

Je reçois cette annonce :

Quand les activistes s'emparent des armes de l'art

Une Brigade Activiste de Clowns taquinant les CRS, des graphistes militants annonçant « rêve général », des escadrons d'avions en papier contre une armée de soldats, une fausse manif de droite, un carnaval contre le capitalisme. Les activistes s'emparent des armes de l'art, et inventent des formes de mobilisation plus créatives jouant d'un certain esthétisme. Liées à l'apparition de l'altermondialisme, ces actions multiplient les foyers de résistance pour une autre politique.
Pourquoi les mouvements sociaux viennent-ils se frotter à l'art? Qu'est-ce que la dimension artistique apporte à ces actions? Permettent-elles de repolitiser ou de politiser autrement? Au-delà de l'impact de ces démarches hybrides, nous nous interrogerons sur l'esthétisation des techniques de lutte par le biais de l'art.
Avec André Gattolin essayiste, enseignant et doctorant, spécialisé dans les techniques de communication activistes Brian Holmes critique d'art et essayiste, spécialisé dans les croisements entre art, économie politique et mouvements sociaux Samuel Wahl journaliste revue Cassandre
vendredi 21 mars 2008, de 19h à 21hà la Sorbonne, amphi Richelieu.
Inscription sur le site www.art-espace-public.c.la


A quoi ouvre l'art dans l'espace public ? [ou est-ce oeuvre?]

A partir du 25 janvier 2008, le cycle de rencontres-débats art [espace] public va réunir à la Sorbonne plus de quarante intervenants : artistes ouvrant dans l'espace public, acteurs de l'urbain, historiens, critiques d'art, géographes, philosophes, étudiants et professionnels en architecture, en urbanisme, en médiation culturelle...
Dix rencontres-débats, la projection d'un film inédit, un colloque franco-italien et quelques expériences originales, pour tenter de comprendre notamment comment, à l'heure où l'espace public apparaît de moins en plus public, menacé par l'uniformisation et des formes de dégradation symbolique, des artistes tentent de réactiver sa dimension publique, sensible, poétique ou politique.
Il sera question de lieux : villes, rues, places, banlieues, campagnes,friches, murs, univers virtuels... ; de gens : plasticiens, circassiens, comédiens, écrivains, flâneurs, spectateurs, observateurs, militants, ruraux et urbains... ; d'actions : marcher, sonner, infiltrer, exposer, jouer, déjouer, afficher, pirater, protester, détourner, troubler...
Ce cycle est proposé par le Master Projets Culturels dans l'Espace Public, université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, en partenariat avec HorsLesMurs et avec le soutien du Ministère de la Culture, chaque vendredi soir, du 25 janvier au 28 mars 2008, à la Sorbonne. L'entrée est libre sur inscription.
Pour découvrir le programme complet et vous inscrire :<http://www.art-espace-public.c.la>

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